| Titre : | La Curée | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | émile Zola (1840-1902), Auteur ; Armand Lanoux (1913-1983), Autre | | Editeur : | [Paris] : le Livre de poche | | Année de publication : | 1979 | | Collection : | Le Livre de poche num. 349 | | Importance : | VIII-434 p. | | Présentation : | couv. ill. | | Format : | 17 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-253-00366-3 | | Prix : | 7,15 F | | Langues : | Français | | Résumé : | A la fin d'une chasse, pendant la curée, les chiens dévorent les entrailles de la bête tuée. Pour le jeune Zola, qui déteste son époque, c'est le c'ur de Paris, entaillé par les larges avenues de Napoléon III, que des spéculateurs véreux s'arrachent. Ce deuxième volume des Rougon-Macquart , histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire, est l'un des plus violents. Zola ne pardonne pas ces fortunes rapides qui inondent les allées du Bois d'attelages élégants, de toilettes de Worms et de bijoux éclatants. Aristide Saccard a réussi. Mais tout s'est dénaturé autour de lui : son épouse, Renée, la femme qui se conduit en homme, si belle et dés'uvrée ; son fils, Maxime, l'amant efféminé de sa belle-mère. On accusa Zola d'obscénité. Il répliqua : « Une société n'est forte que lorsqu'elle met la vérité sous la grande lumière du soleil. » Edition de Philippe Bonnefis. |
La Curée [texte imprimé] / émile Zola (1840-1902), Auteur ; Armand Lanoux (1913-1983), Autre . - [Paris] : le Livre de poche, 1979 . - VIII-434 p. : couv. ill. ; 17 cm. - ( Le Livre de poche; 349) . ISBN : 978-2-253-00366-3 : 7,15 F Langues : Français | Résumé : | A la fin d'une chasse, pendant la curée, les chiens dévorent les entrailles de la bête tuée. Pour le jeune Zola, qui déteste son époque, c'est le c'ur de Paris, entaillé par les larges avenues de Napoléon III, que des spéculateurs véreux s'arrachent. Ce deuxième volume des Rougon-Macquart , histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire, est l'un des plus violents. Zola ne pardonne pas ces fortunes rapides qui inondent les allées du Bois d'attelages élégants, de toilettes de Worms et de bijoux éclatants. Aristide Saccard a réussi. Mais tout s'est dénaturé autour de lui : son épouse, Renée, la femme qui se conduit en homme, si belle et dés'uvrée ; son fils, Maxime, l'amant efféminé de sa belle-mère. On accusa Zola d'obscénité. Il répliqua : « Une société n'est forte que lorsqu'elle met la vérité sous la grande lumière du soleil. » Edition de Philippe Bonnefis. |
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